8.1 a: preuve de l’évolution

8.1 a: preuve de l’évolution

fossiles, anatomie et embryologie

Les fossiles fournissent des preuves solides que les organismes du passé ne sont pas les mêmes que ceux trouvés aujourd’hui; ils montrent une progression de l’évolution. Les scientifiques calculent l’âge des fossiles et les catégorisent pour déterminer quand les organismes vivaient les uns par rapport aux autres. Les archives fossiles qui en résultent racontent l’histoire du passé et montrent l’évolution de la forme sur des millions d’années., Par exemple, les scientifiques ont récupéré des documents très détaillés montrant l’évolution des humains et des chevaux. La nageoire caudale partage une morphologie similaire aux appendices des oiseaux et des mammifères, ce qui indique que ces espèces partagent un ancêtre commun. Au fil du temps, l’évolution a entraîné des changements dans la forme et la taille de ces os chez différentes espèces, mais ils ont conservé la même disposition globale. Les scientifiques appellent ces parties synonymes structures homologues.,

Figure: des Ancêtres Communs: La construction similaire de ces appendices indique que ces organismes partagent un ancêtre commun.
Figure: évolution des humains et des chevaux: (a) dans cet affichage, les hominidés fossiles sont disposés du plus ancien (en bas) au plus récent (en haut). Comme hominidés évolué, la forme du crâne changé., (b) l’interprétation par un artiste d’espèces éteintes du genre Equus révèle que ces espèces anciennes ressemblaient au cheval moderne (Equus ferus), mais variaient en taille.

certaines structures existent dans des organismes qui n’ont aucune fonction apparente, semblant être des parties résiduelles d’un ancêtre commun. Ces structures inutilisées (comme les ailes des oiseaux incapables de voler, les feuilles de certains cactus et les os des pattes postérieures des baleines) sont vestigiales.,

L’Embryologie, l’étude du développement de l’anatomie d’un organisme à sa forme adulte, fournit des preuves de l’évolution car la formation d’embryons dans des groupes d’organismes très divergents tend à être conservée. Les Structures qui sont absentes chez les adultes de certains groupes apparaissent souvent sous leurs formes embryonnaires, disparaissant au moment où la forme adulte ou juvénile est atteinte. Par exemple, tous les embryons de vertébrés, y compris les humains, présentent des fentes branchiales et des queues à un moment donné de leur développement précoce., Ceux-ci disparaissent chez les adultes des groupes terrestres, mais sont maintenus chez les adultes des groupes aquatiques, tels que les poissons et certains amphibiens. Les embryons de grands singes, y compris les humains, ont une structure de queue au cours de leur développement qui est perdue à la naissance.

Une autre forme de preuve de l’évolution est la convergence des formes dans les organismes qui partagent des environnements similaires. Par exemple, des espèces d’Animaux non apparentés, comme le renard arctique et le lagopède vivant dans la région Arctique, ont été sélectionnées pour des phénotypes blancs saisonniers en hiver afin de se fondre dans la neige et la glace., Ces similitudes ne se produisent pas à cause d’une ascendance commune, mais à cause de pressions de sélection similaires: les avantages de ne pas être vu par les prédateurs.

Figure: Adaptations: Manteaux D’hiver: le manteau d’hiver blanc du renard arctique (a) et du lagopède (b) sont des adaptations à leur environnement.

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