Définition médicale du serment D’Hippocrate

Définition médicale du serment D’Hippocrate

serment D’Hippocrate: L’un des plus anciens documents contraignants de l’histoire, Le Serment écrit par Hippocrate est toujours tenu sacré par les médecins: traiter les malades au mieux de ses capacités, préserver l’intimité d’un patient, enseigner les secrets de la médecine à la prochaine génération, etc.

Il existe de nombreuses versions du Serment d’Hippocrate. Nous présentons ici deux versions. Tout d’abord, la version « classique » (ou plus précisément, une traduction du serment original)., Et puis, à sa suite, est présentée l’une des belles versions « modernes » du serment D’Hippocrate.,dans ce serment et cette alliance:

de tenir celui qui m’a enseigné cet art comme égal à mes parents et de vivre ma vie en partenariat avec lui, et s’il a besoin d’argent de lui donner une part de la mienne, et de considérer sa progéniture comme égale à mes frères de lignée masculine et de leur enseigner cet art – s’ils désirent l’apprendre – sans prêté serment selon la Loi médicale, mais personne d’autre.,

j’appliquerai des mesures diététiques au bénéfice des malades selon mes capacités et mon jugement; je les garderai du mal et de l’injustice.

Je ne donnerai pas de drogue mortelle à quiconque en a fait la demande, et je ne ferai pas de suggestion à cet effet. De même, Je ne donnerai pas à une femme un remède abortif. Dans la pureté et la sainteté, Je garderai ma vie et mon art.

je n’utiliserai pas le couteau, pas même sur les personnes souffrant de pierre, mais je me retirerai en faveur des hommes qui sont engagés dans ce travail.,

quelles que soient les maisons que je puisse visiter, je viendrai au bénéfice des malades, en restant libre de toute injustice intentionnelle, de tout mal et en particulier des relations sexuelles avec les hommes et les femmes, qu’ils soient libres ou esclaves.

ce que je peux voir ou entendre au cours du traitement ou même en dehors du traitement en ce qui concerne la vie des hommes, que l’on ne doit en aucun cas diffuser à l’étranger, je le garderai pour moi, tenant de telles choses honteuses à parler.,

Si je respecte ce serment et ne le viole pas, qu’il me soit accordé de jouir de la vie et de l’art, d’être honoré de gloire parmi tous les hommes pour tous les temps à venir; si je le transgresse et jure faussement, que le contraire de tout cela soit mon sort.

Une version moderne du serment D’Hippocrate

je jure d’accomplir, au mieux de mes capacités et de mon jugement, cette alliance:

je respecterai les acquis scientifiques durement gagnés des médecins dans les pas desquels je marche, et je partagerai volontiers les connaissances qui sont les miennes avec ceux qui doivent suivre.,

j’appliquerai, au bénéfice des malades, toutes les mesures qui s’imposent, en évitant ces pièges jumeaux du surtraitement et du nihilisme thérapeutique.

je me souviendrai qu’il y a de l’art dans la médecine aussi bien que dans la science, et que la chaleur, la sympathie et la compréhension peuvent l’emporter sur le couteau du chirurgien ou la drogue du chimiste.

je n’aurai pas honte de dire « Je ne sais pas », et je ne manquerai pas d’appeler mes collègues lorsque les compétences d’un autre sont nécessaires pour le rétablissement d’un patient.

je respecterai la vie privée de mes patients, car leurs problèmes ne me sont pas révélés que le monde puisse savoir., Surtout dois-je marcher avec soin en matière de vie et de mort. Si on me donne pour sauver une vie, merci. Mais il peut aussi être en mon pouvoir de prendre une vie; cette responsabilité impressionnante doit être confrontée avec une grande humilité et la conscience de ma propre fragilité. Par-dessus tout, Je ne dois pas jouer contre Dieu.

je me souviendrai que je ne traite pas un tableau de fièvre, une croissance cancéreuse, mais un être humain malade, dont la maladie peut affecter la famille et la stabilité économique de la personne. Ma responsabilité comprend ces problèmes connexes, si je dois prendre soin adéquatement des malades.,

je préviendrai la maladie chaque fois que je le pourrai, car la prévention est préférable à la guérison.

je me souviendrai que je reste un membre de la société, avec des obligations spéciales envers tous mes semblables, ceux sains d’esprit et de corps ainsi que les infirmes.

Si Je ne viole pas ce serment, puis-je profiter de la vie et de l’art, respecté pendant que je vis et rappelé avec affection par la suite. Puis-je toujours agir de manière à préserver les plus belles traditions de ma vocation et puis-je vivre longtemps la joie de guérir ceux qui demandent mon aide.,

la version classique du serment D’Hippocrate provient de la traduction du grec par Ludwig Edelstein. Extrait du serment D’Hippocrate: Texte, traduction et interprétation, par Ludwig Edelstein. Baltimore: Johns Hopkins Press, 1943.

la version moderne du serment D’Hippocrate a été écrite en 1964 par Louis Lasagna, doyen de la Faculté de Médecine de L’Université Tufts.

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