Evaluation de l’infiltrat pulmonaire persistant

Evaluation de l’infiltrat pulmonaire persistant


Classification

la classification de ces troubles peut devenir assez complexe, car certains cliniciens se concentrent principalement sur les anomalies radiologiques, tandis que d’autres mettent l’accent sur les caractéristiques cliniques qui les accompagnent., La pneumonie non résorbante ou à résolution lente est vaguement définie comme une pneumonie qui ne s’améliore pas cliniquement, voire s’aggrave, malgré un minimum de 10 jours d’antibiothérapie adéquate, ou comme un infiltrat radiographique qui ne se résorbe pas dans les 12 Semaines.El Solh AA, Aquilina À, Gunen H, et al. Résolution radiographique de la pneumonie bactérienne acquise dans la Communauté chez les personnes âgées. J Am Gériatr Soc. 2004 Fév.; 52(2):224-9.http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14728631?tool=bestpractice.comFein AM, Feinsilver SH, NIEDERMAN MS.pneumonie non résorbante ou à résolution lente: diagnostic et prise en charge chez le patient âgé. Clin Poitrine Med., 1993 Sep;14 (3): 555-69.http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8222569?tool=bestpractice.comles pneumonies à résolution lente sont généralement définies comme la persistance de l’infiltrat radiographique chez un patient cliniquement amélioré pendant plus de 4 semaines (< résolution de 50% en 1 mois).

réponse thérapeutique

réponse Variant

  • âge plus de 60 ans: la clairance radiographique de l’infiltrat pneumonique à la fin du traitement antibiotique diminue de 20% par décennie après l’âge de 20 ansskuru T, Lynch JP 3rd. Pneumonie non résolvante ou à résolution lente. Clin Poitrine Med. 1999 Sep;20 (3): 623-51.,http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10516909?tool=bestpractice.comCassiere H, Rodrigues JC, FEIN AM. Résolution retardée de la pneumonie: quand la guérison lente est-elle trop lente? Postgrad Med. 1996 janv;99(1):151-4, 157-8.,http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8539201?tool=bestpractice.com

  • Malnutrition

  • affections comorbides (BPCO, insuffisance cardiaque, diabète, insuffisance rénale, immunodéficience, consommation d’alcool, tabagisme, exposition professionnelle, cancer, traitement du cancer, maladie systémique): les patients présentant des tumeurs malignes hématologiques, des troubles immunosuppresseurs ou une exposition à la silice, à l’aluminium ou à la poussière de titane sont sujets/li>

  • microorganisme causal

  • gravité initiale de l’infection

  • retard dans l’initiation du traitement.

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